Cosmex opère dans le secteur pharmaceutique, où elle achète et vend des médicaments et des articles cosmétiques. Les bureaux de l'entreprise sont situés à Linkebeek, commune de la périphérie sud de Bruxelles. Cosmex dispose en outre d'un entrepôt dans la commune bruxelloise de Haren. « Je combine plusieurs fonctions », explique Alexandra. « En tant que Fleet Manager, je suis responsable de la flotte automobile. La gestion des ressources humaines relève également de mes compétences et je m'occupe aussi de l'administration et de la facturation. C'est un ensemble de tâches variées, mais c'est justement ce qui rend mon job passionnant. »

« Onze personnes travaillent pour Cosmex en Belgique et notre flotte compte actuellement huit véhicules. Toutes les fonctions ont droit à une voiture de société chez nous », précise Alexandra. « Des magasiniers aux vendeurs et aux responsables du marketing, en passant par le management. Au printemps 2023, nous avons commandé neuf voitures électriques chez Brussels Auto Group. Sept d’entre elles sont destinées à Cosmex et deux à IC Pharma, une société appartenant au même groupe. Nous avons choisi des voitures électriques de différentes marques, telles que la Škoda Enyaq iV, la Volkswagen ID.3 et la CUPRA Born. »

Adaptation 

En ce qui concerne le confort des voitures, les membres du personnel se sont montrés unanimement très positifs. Il n'en reste pas moins que la plupart ont dû s'habituer à une voiture 100 % électrique. « Les premières semaines ont nécessité une adaptation », admet Alexandra. « Lorsque l'on prend la route avec une voiture électrique, il faut bien réfléchir. Comment est-ce que je me rends du point A au point B ? Combien de kilomètres la batterie peut-elle encore supporter ? Où puis-je recharger la batterie en cours de route et de quelles cartes de recharge ai-je besoin ? C’est parfois un vrai casse-tête. »

L'autonomie électrique restreinte se heurte encore parfois à ses limites. « Nos bureaux sont situés à Linkebeek. Pour les membres du personnel habitant Bruxelles et sa périphérie, l'autonomie de la batterie est tout à fait suffisante. Mais pour celles et ceux qui habitent plus loin, cette autonomie limitée est parfois moins évidente. En fait, notre pays n'est pas encore prêt à 100 % pour la transition électrique. Deux de nos collègues habitent en Wallonie et cette partie du pays est quelque peu à la traîne en ce qui concerne l'infrastructure de recharge. C’est totalement différent en Flandre, où l'on trouve suffisamment de bornes de recharge. »

Nouveau site d'entreprise 

« Dans nos locaux actuels, nous ne disposons pas de notre propre infrastructure de recharge. Mais au début de l'année prochaine, nous déménagerons à Tubize, où nous érigeons actuellement un bâtiment flambant neuf. Ce nouveau site mettra des bornes de recharge à la disposition des membres du personnel, ce qui facilitera grandement la recharge pour tout le monde chez nous. Il faut prendre son mal en patience, mais tout va s’arranger », dit-elle avec confiance.

« Notre entreprise ne prévoit actuellement pas d'infrastructure de recharge au domicile des membres du personnel », précise Alexandra. « L'une de nos collègues a installé une borne de recharge chez elle car elle parcourt énormément de kilomètres. Mais le reste de nos conducteurs ont trouvé d'autres endroits pour recharger la batterie de leur voiture. Nous avons également un magasin à Haren, équipé de bornes de recharge. D'autres membres du personnel rechargent leurs véhicules en cours de route, à des infrastructures de recharge publiques. Là aussi, tout le monde a déjà trouvé sa routine. »

« En fait, il s'agissait surtout de changer nos vieilles habitudes. Avec une voiture à carburant fossile, il est possible de s’arrêter n'importe où pour faire le plein, alors qu'avec une voiture électrique, il faut planifier un peu mieux. Mais en attendant, plus personne ne voudrait se passer de son compagnon de route électrique », dit-elle.

Communication efficace 

La collaboration avec Brussels Auto Group a débuté au printemps 2023. « Ce premier contact a tout de suite été très agréable », se souvient Alexandra. « Pour moi, tout dépend d’une bonne communication. Cette règle s'applique à toute entreprise avec laquelle nous entretenons une relation professionnelle. Quand les interlocuteurs ne répondent pas aux e-mails ou au téléphone, ou lorsqu'il n'y a pas de réponse aux questions que nous posons, c'est très fatigant. »

«  À cet égard, notre Business Relations Manager, Geert, est une personne avec laquelle il est très agréable de travailler. Il est mon premier point de contact et je sais que je peux m'adresser à lui pour toute question, aussi anecdotique soit-elle. Même s’il n’est pas en mesure de répondre immédiatement, il réagit toujours rapidement. En tant que client, c'est rassurant. Je sais alors que quelqu'un se penche sur ma question et y travaille. Cette communication est cruciale pour moi », conclut-elle.

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Geert Fauville

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